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ALERTE SANTÉ : le paracétamol révèle des dangers EXPLOSIFS pour les seniors !

Votre antidouleur quotidien pourrait menacer votre santé après 65 ans. Une étude choc dévoile des risques méconnus du paracétamol chez les personnes âgées. Décryptage des précautions urgentes.

Le paradoxe du médicament « inoffensif »

Considéré comme l’antidouleur le plus sûr, le paracétamol est pourtant sous surveillance accrue. Publiée dans Arthritis Care and Research, une étude menée par le professeur Weiya Zhang (Université de Nottingham) sonne l’alarme. Cette recherche analyse 583 000 dossiers médicaux de seniors. Un constat troublant émerge : la prise régulière présente des risques sous-estimés.

Effets secondaires gravissimes : la bombe à retardement

Les résultats font froid dans le dos. Les plus de 65 ans consommant du paracétamol présentent :

  • Un risque accru d’hémorragies gastro-intestinales (ulcères, perforations)
  • Des complications cardiovasculaires potentiellement mortelles
  • Une aggravation de l’insuffisance rénale chronique

Le mécanisme est implacable : plus la dose quotidienne est élevée et plus la durée du traitement s’allonge, plus les dangers augmentent. Un effet dose-réponse inquiétant.

Seniors : la redéfinition urgente des traitements

Face à ces découvertes, les chercheurs tirent la sonnette d’alarme. Le rapport bénéfice-risque du paracétamol en traitement chronique serait défavorable chez les aînés. Le professeur Zhang insiste : Ne modifiez jamais votre traitement sans avis médical. La solution ? Consulter son médecin pour :

  • Réévaluer la posologie exacte
  • Explorer des alternatives thérapeutiques
  • Surveiller tout effet indésirable

Rappel crucial : respectez scrupuleusement la dose maximale journalière (4g/jour). Ce médicament en vente libre n’est pas anodin.