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Donald Trump évoque Macron avec émotion : « Je l’ai aimé dès le premier jour »

Moudir

Des tempéraments opposés. Des styles radicalement différents. Et pourtant, une connivence inattendue.
Dans une récente déclaration, Donald Trump, ancien président des États-Unis, a tenu des propos d’une rare chaleur à l’égard d’Emmanuel Macron.
“C’est l’une des premières personnes que j’ai rencontrées. Je l’ai aimé dès le premier jour, et je l’aime encore plus aujourd’hui. C’est assez inhabituel”, a-t-il affirmé.
Des mots forts, sincères, presque intimes, dans un monde diplomatique où les formules protocolaires dominent.

Une relation qui défie les attentes

Quand Donald Trump et Emmanuel Macron se sont rencontrés pour la première fois en 2017, tout semblait les opposer.
L’un, flamboyant, direct, populiste.
L’autre, posé, intellectuel, européen convaincu.
Leurs poignées de main tendues, parfois presque musclées, sont devenues emblématiques.
Mais derrière les images, une relation singulière s’est tissée.
Basée sur le respect, l’humour, et un certain sens du théâtre.


Contrairement à ses relations tendues avec d’autres dirigeants européens, Trump a toujours réservé à Macron un traitement particulier.
Il l’a invité à Mar-a-Lago.
Il a salué sa détermination.
Et même après la fin de son mandat, il continue de parler de lui avec une forme d’admiration rare.

 

« Je l’ai aimé dès le premier jour » : une sincérité surprenante

Cette déclaration, faite sans pression médiatique immédiate, tranche avec le ton habituel de Trump.
Pas de provocation.
Pas de polémique.
Juste une reconnaissance personnelle.
“Il est intelligent. Il est fort. Et il aime son pays”, aurait-il confié à des proches.

Dans un contexte géopolitique tendu — entre tensions commerciales, différends sur la défense, et divergences sur la Chine ou l’Ukraine — cette amitié atypique devient un fil discret mais solide entre les deux nations.
“C’est assez inhabituel”, reconnaît Trump.
Et c’est ce qui en fait toute la valeur.

Un lien humain au-dessus des idéologies

Leur relation ne repose pas sur une convergence politique.
Elle repose sur une connexion humaine.
Macron, malgré leurs désaccords, a toujours traité Trump avec courtoisie.
Il a évité les attaques faciles.
Il a joué le jeu du dialogue, même quand les États-Unis ont quitté l’accord de Paris sur le climat ou critiqué l’OTAN.

Trump, en retour, a semblé touché par cette attitude.
Pas de condescendance.
Pas de mépris affiché.
Mais un dialogue d’égal à égal.
Une rareté dans son parcours politique.

Quel avenir pour cette amitié diplomatique ?

Que Trump revienne à la Maison Blanche ou non, ce lien laisse une trace.
Il montre que, même dans un monde fracturé, des relations personnelles peuvent transcender les clivages.
Ce n’est pas une alliance stratégique.
C’est une estime mutuelle.
Discrète.
Sincère.
Précieuse.

Et dans l’histoire des relations franco-américaines, cette amitié improbable pourrait bien être l’un des chapitres les plus humains.