Sarkozy en prison : avantages cachés révélés
Un droit de visite étendu au-delà de la norme
La réglementation pénitentiaire prévoit un minimum de trois parloirs hebdomadaires pour les prévenus. Dans la réalité des prisons françaises, ce seuil est souvent le plafond. Pour Nicolas Sarkozy, ce n’est qu’un point de départ. Selon des sources concordantes, l’ancien président reçoit ses proches quatre fois par semaine.
Et ce n’est pas tout : chaque entretien dure environ une heure, dépassant ainsi la durée standard de 45 minutes. Un écart minime en apparence, mais significatif dans un univers où chaque minute compte.
Sécurité maximale, contact zéro avec les autres détenus
Pour des raisons de sécurité — et probablement de dignité protocolaire — Nicolas Sarkozy est placé en isolement total. Il ne partage ni promenade, ni cantine, ni couloir avec les autres incarcérés. Ce dispositif, bien que justifié officiellement, accentue la perception d’un traitement à part.
Repas standard, mais vie cloisonnée
Sur le papier, il reste soumis aux mêmes règles que tout le monde. Il mange les plats préparés par la prison, sans exception. Pas de chef privé, pas de panier gourmand. Pourtant, son quotidien est entièrement segmenté : cellule individuelle, surveillance renforcée, accès restreint aux services communs.
Égalité devant la loi… ou devant le protocole ?
L’administration pénitentiaire insiste : aucun privilège n’est accordé. Tout relève de mesures de sécurité ou d’interprétations souples du règlement. Mais dans un contexte de défiance croissante envers les élites, ces détails alimentent les interrogations. Être un ancien président change-t-il vraiment la manière dont la justice s’applique ?
