Choc en direct : la proposition de Gilles Verdez sur Noël fait basculer Daniel Riolo
Une idée « républicaine » ou une rupture avec l’histoire ?
Pour Gilles Verdez, les noms traditionnels des vacances scolaires — comme « Noël » ou « Toussaint » — ne reflètent plus la diversité de la société française. Il propose donc de les neutraliser : « Ça concerne tout le monde », a-t-il insisté face à Cyril Hanouna. Selon lui, ce changement s’inscrit dans une logique de laïcité active, où les institutions publiques évitent toute référence religieuse.
Cette séquence est HALLUCINANTE ! 😳
Gilles Verdez veut supprimer les Vacances de Noël et souhaite « réécrire l’Histoire de France car il a honte de la colonisation ». Ce mec vraiment complètement cinglé. 😤
Pourquoi il déteste autant la France ?
pic.twitter.com/oemAG2FeJ4— Bleu Blanc Rouge ! 🇫🇷 (@LBleuBlancRouge) October 28, 2025
Il ne s’agit pas, selon le chroniqueur, de nier la culture chrétienne, mais de garantir que le calendrier scolaire reste accessible à tous, quelle que soit leur croyance — ou leur absence de croyance.
Daniel Riolo : « Cet homme est fou ! »
Daniel Riolo n’a pas attendu longtemps pour réagir. Pour lui, cette proposition n’est pas neutre : elle participe, selon ses mots, à un « rejet systématique de l’histoire de France ». « La France est ce putain de pays qui veut dégueuler son histoire », a-t-il lancé, visiblement outré.
L’argument de la neutralité ne le convainc pas. « Ce n’est pas parce qu’on parle de Noël qu’on impose une religion », a-t-il rétorqué. Et d’ajouter, incrédule : « Pourquoi détester à ce point la France ? »
Quand Noël devient un enjeu politique
La tension a monté d’un cran quand Gilles Verdez a lié cette question à celle de la colonisation : « Si on refuse de questionner notre passé, c’est qu’on l’adoube ? » Une phrase qui a fait bondir Daniel Riolo : « Mais cet homme est fou ! Il n’y a aucun lien entre Noël et la colonisation ! »
L’échange a révélé un fossé idéologique profond. D’un côté, une vision du progrès fondée sur la remise en cause permanente des symboles nationaux. De l’autre, une défense intransigeante du patrimoine culturel comme socle commun.
Et les vacances scolaires dans tout ça ?
Au-delà du clash télévisuel, la question des vacances scolaires en France reste sensible. Le calendrier, fixé par le ministère de l’Éducation nationale, intègre depuis toujours des repères religieux — non pas pour imposer une foi, mais parce qu’ils structurent le rythme social depuis des siècles.
Renommer ces périodes, c’est donc bien plus qu’une simple question de vocabulaire. C’est interroger ce que la République considère comme son héritage partagé… ou ce qu’elle choisit d’oublier.
