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Familles nombreuses, la vie en XXL : Amandine Pellissard tient à répondre à ceux qui la traitent de « cassos »

Les Pellissard font partie des tribus les plus connues du programme de TF1. Parents de huit enfants (Léo, Léna, Alina, Louna, Adam, Charles, Hector et Octave), Amandine et son mari Alexandre espèrent prochainement en avoir un neuvième. Mais cette perspective n’enchante pas tout le monde, notamment la mère d’Amandine – qui n’a pas toujours compris son envie d’avoir autant d’enfants – et des internautes qui se mêlent de ce qui ne les regarde pas. Ce lundi 31 mai, lors d’un live sur Instagram, la mère de famille est tombée sur un commentaire désagréable : « Mes impôts entretiennent tes enfants. » Piquée au vif, elle a soupiré d’agacement. « Quand tu n’as pas travaillé deux ans de ta vie, les gens te traitent de cassos… », a-t-elle regretté, mettant le message dans sa « boîte à cons ». Mais elle a ensuite tenu à remettre les pendules à l’heure sur une accusation qui ne cesse de revenir sur les réseaux sociaux, selon laquelle sa famille profiterait un peu trop des allocations familiales.

« Se dévouer à sa famille, c’est tout à fait noble et respectable. Je pense que les gens qui sont dans la critique, ce sont des gens qui n’en seraient pas capables. Ça, c’est sûr. Parce que ce genre de réflexion ne vient jamais de mamans de familles nombreuses. Toutes les réflexions dans ce sens-là que j’ai eues – “cassos”, les impôts, les allocs etc – ce sont toujours des familles où il y a un ou deux enfants maximum. Ou pas d’enfants, a expliqué Amandine Pellissard sur Instagram. Ces réflexions de merde, ça vient avant tout de gens qui n’en seraient pas capables. »

Concernant les allocations familiales, la mère de famille a rappelé qu’elles ne permettaient en aucun cas de rouler sur l’or : « Si c’est si merveilleux, qu’elles en fassent huit, neuf, dix ! Et puis elles verront… Si les allocs c’est l’Euromillions, elles verront, s’est-elle agacée. Sur les allocs, tout est calculé, tout est déduit, tout est compté. Le moindre euro qu’on gagnait à l’époque avec Vinted, les allocs en tenaient compte. Il faut arrêter de planer ! »

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