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Olivier Marchal prend la défense de la police et dézingue les « artistes qui chient sur les flics »

J’aime les flics, et je suis là pour dire que j’aime les flics et que ce métier, je le respecte », a clamé sur BFMTV celui qui a lui-même exercé la profession de policier pendant douze ans. « J’ai juste envie qu’on continue d’être fier d’être policier aujourd’hui, c’est tout ce dont j’ai envie », a-t-il poursuivi, au lendemain des annonces de Christophe Castaner pour réformer la profession.

La responsabilité des pouvoirs publics est aussi pointée par le réalisateur, qui estime que « les flics sont toujours les boucs émissaires de l’instabilité et du désordre d’une société » et qui regrette que la police ait, selon lui, été « abandonnée par les pouvoirs politiques », et « désavouée par les pouvoirs publics et la hiérarchie ».

C’est ensuite aux nombreuses personnalités qui ont attaqué les forces de l’ordre ces derniers jours que le réalisateur s’est adressé : « J’en ai marre que des espèces d’acteurs de deuxième zone et de chanteurs de deuxième zone continuent à chier sur les flics alors que ce sont des gens qui vivent dans des quartiers privilégiés, qui ont des métiers privilégiés, et qui surtout exacerbent tout ça et amènent ce discours de haine ». Un message sans doute implicitement destiné à Camelia Jordana ou encore Omar Sy.

Dans sa tribune publiée un peu plus tôt dans la journée et intitulée « Larmes de flics », Olivier Marchal ne manque également pas d’écorner ceux qui donnent une mauvaise image de la profession : « Les cons sont encore plus cons, Paris est encore plus triste et les flics sont devenus des nazis chasseurs de noirs et d’arabes dont il faut se méfier à chaque coin de rue… », écrit-il, avant de s’interroger : « Oui, il y a des flics qui se comportent parfois de façon pitoyable. Mais combien sont-ils ? »

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