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“Y’a pas de CAF pour moi, je prends l’argent de vos enfants” : un homme d’origine algérienne enflamme les réseaux avec une déclaration choc

Une vidéo virale met en scène un homme d’origine algérienne s’en prenant directement aux électeurs du Rassemblement national. Avec arrogance, il affirme ne pas avoir besoin des aides sociales puisqu’il vend de la drogue aux jeunes Français. Il va même jusqu’à montrer sa Porsche, achetée grâce à ce trafic, qu’il compte ramener “au bled”.

Un message provocateur destiné aux électeurs du RN

Face caméra, l’homme, la trentaine, parle calmement mais avec assurance. Il commence par cette phrase choc : “Y’a pas de CAF pour moi, je prends l’argent de vos enfants”, avant d’expliquer que ses revenus proviennent exclusivement de la vente de stupéfiants.

Il poursuit en désignant sa voiture de luxe : “Je vais la ramener au bled. Elle a été payée par vos gamins, ceux qui s’en mettent plein les narines.” Ces mots, clairement ciblés, visent à défier ceux qui soutiennent une politique plus ferme sur l’immigration et la sécurité.

 

Une vidéo qui divise autant qu’elle inquiète

Au-delà de la provocation, ce témoignage suscite de nombreuses interrogations :

  • Jusqu’où va le trafic de drogue dans les quartiers sensibles ?
  • Pourquoi les mineurs y ont-ils si facilement accès ?
  • Est-ce une réalité ou simplement une bravade pour choquer ?

La vidéo tourne en boucle sur TikTok, YouTube Shorts et X (anciennement Twitter), alimentant les débats entre internautes. Certains y voient une preuve de l’échec des politiques publiques, d’autres une stigmatisation dangereuse.

Quel impact sur la société française ?

Selon une enquête récente de l’OFDT, près de 40 % des jeunes de 17 ans ont déjà expérimenté le cannabis. Et si cet homme exagère, son discours traduit une réalité inquiétante : la drogue reste accessible, malgré les efforts des forces de l’ordre.

En outre, cette affaire relance le débat sur les tensions sociales et idéologiques autour de l’immigration, de la sécurité et de la cohésion sociale. Face à ces images, beaucoup s’interrogent : comment agir concrètement pour protéger les jeunes et restaurer l’autorité de l’État ?